Je prends régulièrement des photos de ce qui se passe dans mon atelier. Il me semble intéressant de garder une trace du processus inconscient de création, photographié de manière aléatoire sans chercher un sens particulier ou une image esthétique. Cela permet d'appréhender ce qui échappe, ce qui disparaît une fois l'œuvre terminée. La part inconsciente du processus de création est ce qui affleure au fil des images dans cet espace de liberté totale que représente pour moi l'atelier.
Vues de l'atelier de Philippe Richard en 2007 à Paris
Vues de l'atelier de Philippe Richard début 2007 à Paris en préparation de l'exposition Yvetot, donc, vaut Constantinople,
Galerie Duchamp, Yvetot (2007).
